Francisca Valenzuela
En 2005, je découvrais le SXSW, un festival annuel d’art en général, de musique en particulier et qui a la particularité de diffuser à la fin de chaque édition une archive de mp3 avec un titre des différents artistes qui se sont produits pendant l’évènement.

Il y en a pour des dizaines de gigaoctets et je ne pense pas avoir tout écouté (j’ai les éditions 2005 à 2011, et oui, j’ai 3 ans de retards à récupérer !) et autant je tombe la plupart du temps soit sur des choses que je n’aime absolument pas (ça m’arrête dans ce que je fais pour prendre le temps de libérer de l’espace sur mon disque dur), soit sur des choses qui me laissent indifférent (je ne m’interrompt pas du tout, ne remarquant même pas la chanson), parfois, il m’arrive de m’arrêter parce que le morceau m’a accroché très fort. C’est comme ça que j’ai découvert Pop Shuvit par exemple.
Là on est dans un tout autre registre avec Francisca Valenzuela, américano-chilienne. Elle compose une musique en espagnol (je crois ?), parfois douce, parfois rythmée, mais sans pouvoir mettre le doigt dessus, il y a quelque chose de riche dans ses chansons.
Le morceau qui m’a happé vers elle :
Bonne découverte !